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Revue de santé intégrative

La Revue santé intégrative et société (titre de travail) souhaite contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des êtres vivants en explorant leurs façons de s’adapter à leur environnement et à ses aléas, tout au cours de l’existence.

Considérant que le fait d’être vivant et que ce que l’être perçoit lui-même de cet état est de nature indicible et échappe à toute explication, rationalité ou logique, la Revue ne vise pas à démontrer un savoir, la puissance d’une quelconque méthode ou technique de santé, mais à créer un espace d’échange d’expériences que peuvent faire les êtres humains pour vivre bien. Elle souhaite ainsi permettre aux lecteurs et lectrices comme à ses rédacteurs et rédactrices de tirer parti, chacun·e à sa manière, de ces récits d’expériences.
La Revue souhaite ainsi promouvoir les réflexions simples sur l’expérience d’être vivant et de s’adapter aux conditions, aux aléas de l’existence et à ses activités.

Afin de répondre à cette intention, elle favorise les contributions qui relatent des expériences singulières ayant contribué à améliorer la qualité de vivre sous forme de narration, de dialogues croisés entre différents acteurs et actrices de l’existence, de récits d’expériences de décentrage par rapport à ses propres compétences ou certitudes (par exemple sur la manière qu’à un·e soignant·e de se soigner lui-même…). Elle veille à ce que ces contributions soient formulées de manière compréhensible pour toutes et tous et qu’elles invitent à intégrer ou articuler différentes manières de voir l’existence et les choses, de combiner différentes actions ou procédés ayant contribué à améliorer la qualité de l’existence tout en décrivant la perception singulière qu’en ont leurs acteurs et actrices.

Les suggestions de lectures, d’œuvres audio-visuelles ou d’autres documents illustrant de façon abordable des expériences de vivre sont encouragées et préférées aux références trop savantes.
La Revue sélectionne les contributions qui lui sont soumises en écartant celles qui recourent à un langage spécialisé, à des démonstrations de vérité, à des concepts obscurs, des slogans, des abréviations, des néologismes ou toute autre forme de message implicite. Elle ne souhaite pas non plus publier de texte promotionnel fixant l’apologie d’une forme de vérité, d’une manière de penser, d’une méthode ou d’un moyen prétendument universellement efficace ou « miraculeux ».

  

Découvrez l'interview du Pr Eric Bonvin